Présentation ?

Je m’appelle Sucra, de mon vrai nom Francesca-Maria Gonzalez , j’ai 21 ans et je suis en année de césure après avoir terminé une licence en Arts du Spectacle à l’Université de Corse.

Passionnée par l’art et la culture sous toutes leurs formes, je me suis construite un parcours hybride, mêlant scène, visuel et émotion. Aujourd’hui, je cherche à explorer des espaces où la sensibilité a toute sa place, où l’humain est au centre, et où je peux mettre en œuvre ma créativité au service de projets porteurs de sens.

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J’adore le JDR et le cosplay

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J’ai un chat qui s’appelle Diane et deux petit raton

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Mon chocolat préféré c’est le chocolat blanc

Il était une fois…

Le théâtre, c’est ma première passion. Je suis tombée dedans à l’âge de 5 ans, et pendant longtemps, il a été pour moi le moyen d’expression le plus naturel.

Ce qui me touche dans cet art, c’est son humanité profonde : c’est l’art de rejouer le monde pour mieux le comprendre, de créer du lien entre les êtres. Monter sur scène, c’est à la fois se dévoiler et créer un espace où l’on peut se rencontrer, se reconnaître.

Cette année, j’ai décidé de faire une pause, de prendre du recul pour mieux ressentir ce que cette pratique m’apporte — mais le théâtre continue d’habiter mon regard, ma façon de raconter et de me relier aux autres.

La suite d’une jolie Fable

Aujourd’hui, la communication s’impose comme une évidence. Elle rassemble les fils de mon parcours : le théâtre, qui m’a appris à transmettre des émotions et à créer du lien ; la production, qui m’a initiée à l’envers du décor ; et le dessin, qui est devenu un vrai langage. La communication, pour moi, c’est bien plus qu’un métier — c’est une façon d’unir les formes d’expression, de faire passer un message, de toucher les autres, d’organiser pour mieux raconter. C’est un espace où tout ce que j’aime peut exister ensemble, au service de projets humains, sensibles et vivants.

Au pays des artistes ont dit…

« Créer, c’est vivre deux fois »
“There is a crack in everything, that’s how the light gets in.”
« Pourquoi, parfois, j’ai cru jusqu’à six choses impossibles avant le petit-déjeuner. »